A cette occasion, le ministre Koné a dit que « les religions sont les mêmes ; mais ce sont les pratiques qui sont différentes ; et Dieu est le seul Maître absolu pour le jugement dernier ».
Aussi, a-t-il exhorté à cultiver « l’esprit de tolérance, le droit à la différence et le respect de l’autre dans son choix confessionnel, gages de paix et de cohésion sociale ».
Dr. Koné a rassuré qu’il ne ménagera aucun effort pour « un traitement républicain », à équidistance de toutes les confessions et de toutes les tendances sociales ou doctrinales, en faisant prévaloir « l’équité, la justice et la bonne gouvernance ».
« Il n’est pas question pour nous de se substituer aux structures et associations faîtières à caractère confessionnel, ni aux leaders communautaires et religieux », a-t-il clarifié, pour se contenter du rôle qui est le sien, celui « d’appuyer et d’accompagner tout un chacun dans la tâche qu’il s’est lui-même assignée ».
Le ministre Koné a sollicité le soutien et l’accompagnement des uns et des autres, pour « un travail d’équipe au seul service et au bénéfice exclusif de notre pays, le Mali».
SOD
CCOM/MA
Source : Mission