La Force Barkhane avait été accusée, le 3 janvier dernier, par l’association Tabital Pulaaku et plusieurs organisations de la société civile d’avoir tué des civils, lors d’une cérémonie de mariage à Bounty. Alors que l’Etat-major français et les FAMa avaient évoqué, en son temps, un rassemblement djihadiste. Les conclusions de l’enquête, diligentée par la Division des droits de l’Homme de la MINUSMA, confirment que le raid avait visé «une cérémonie de mariage regroupant plusieurs dizaines de civils».
Lire la suite dans l’indépendant
Source : l’Indépendant