A l’origine de la tension, Bandiougou Doumbia insinuait que son ancien maître doit son fauteuil de président du Haut conseil islamique du Mali à la bienveillance du président de la République d’alors Ibrahim Boubacar Keïta.
Le prédicateur, qui n’était pas dans une posture de revanchard, avait sollicité et obtenu la grâce présidentielle à son ancien disciple reconnu coupable d’injures publiques et de menace de mort proférées contre la famille présidentielle.