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CHANTAGE, CORRUPTION ET MANIPULATION AU SOMMET DE L’ÉTAT 

CHANTAGE, CORRUPTION ET MANIPULATION AU SOMMET DE L’ÉTAT
– le PM Soumeylou Boubeye Maiga et sa femme accablés dans le projet d’installation d’une centrale solaire de 50 MWc à Koulikoro
– Binta Yattassaye PDG de l’entreprise “INNOVA” accusée

Pour l’installation d’une centrale solaire de puissance 50 Mwc à Koulikoro, en début Janvier 2017, L’État du Mali à travers le ministère de l’énergie et de l’eau de Malick Alhousseini, avait fait appel à une entreprise Suisse “EIEE and partners GmbH”. Marquant l’intérêt du pays aux services de cette entréprise, et face à la forte demande sociale en énergie, ce projet solaire dénommé “SOUNDIATA” a été inscrit dans le programme présidentiel d’urgence social. Logé à la présidence de la république. C’est ainsi que le projet s’est éclipsé du ministère de l’énergie et de l’eau, pour se nicher à la présidence de la république. Précisément, dans le bureau du secrétaire général d’alors, Soumeylou Boubeye Maiga, actuellement premier ministre. Ainsi, pour faciliter voire bâcler toutes les démarches administratives, institutionnelles et légales, le Ségal de la présidence SBM a confié les procédures et démarches de ce grand projet à sa femme Binta Yattassaye, PDG de l’entreprise INNOVA. Sans qu’elle n’en ait qualité, encore moins les expériences requises.
Pire, de source sûre, Mme Maiga Binta Yattassaye, PDG de l’entreprise INNOVA EXPERT, non moins présidente du conseil d’administration de l’AGEROUTE, aurait profité de l’influence de son mari secrétaire général de la présidence à l’époque, pour faire passer le projet de réalisation de la centrale sans passer par un appel d’offre. tous cela, sous les ordres et la protection de SBM. Mais les services de la patronne de INNOVA, ne se vendent pas à un prix dérisoire.
De bonne source, pour toutes ses démarches, souvent qualifiables d’illégales à cause de ses termes utilisées “Générer”. qui veut dire : “les arrangements ou les dessous de table”, sont de grosses factures. Toujours nous apprenons de notre source, le 17 Avril 2017, dans le contrat passé entre Binta Yattassaye la chargée d’affaire et EIEE AND PARTNERS GmbH, l’entreprise chargé du projet, Mme Maiga Yattassaye s’était octroyée la part belle de 12,5% des parts sociales dans le capital de l’usine centrale solaire “SOUNDIATA”. Pas que, plus une importante valise de 3 millions d’euros. ce qui a été convenu.
Paradoxe ! insatisfaite de cette première avance, Binta Yattassaye, l’affable consultant financier; visiblement d’une appétence sur mesurée, montera plus tard la barre encore plus haut. Elle aurait reclamé encore, en plus des 3 millions d’euros, 20% sur les parts sociales. tout cela, sans compter une astreinte sur la société EIEE AND PARTNERS GmbH, de s’engager à régler à compter du 1er mois de mise en activité de l’usine solaire solaire, l’équivalent d’une somme d’argent en dollars américain sur chaque Kwh vendu par l’entreprise. Sur la base des 50Mw/heure, et cela pendant 25 ans soit la vie de l’usine.
Enfoncés dans des contraintes économiquement dures, moralement insoutenables et pratiquement impossible, les dirigeants de l’entreprise EIEE se sont vus obligés de ne pas s’engager dans ce projet de réalisation d’une centrale haut combien crucial pour l’économie solaire malienne. Et capital pour la mise en œuvre du programme présidentiel d’urgence social.
les conditions exagérées posées par Binta Yattassaye, ont donc contraint l’entreprise Suisse EIEE and PARTNERS GmbH à laisser tomber le projet. Selon nos dernières informations, cela pourrait causer un risque “fatal”. A en croire notre source, des menaces de mort sont déjà en cours au sommet de l’État pour “faire disparaitre” un des partenaires de l’entreprise EIEE AND PARTNERS GmbH.
Les détails et le nom de la personne indexée dans nos parutions prochaines.

A Suivre…

T. Tangara

Source: Le Dénonciateur

 

 

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