Après l’annonce de la dissolution de la Seleka, la coalition rebelle qui a porté au pouvoir Michel Djotodia, les autorités de Bangui doivent aujourd’hui agir pour remettre de l’ordre et faire le tri dans les rangs de milliers de combattants dont une partie seulement devra être recyclée dans les forces armées centrafricaines. Une tâche qui n’est pas simple.
Combien y a t-il de rebelles a Bangui et à l’intérieur du pays ? A cette question, personne ne peut répondre. Pas de chiffres non plus pour comptabiliser les généraux et colonels souvent autoproclamés, dont certains disposent de troupes personnelles.
RFI