Kati : Le général Abdoulaye Coulibaly visite les blessés de guerre admis à la Polyclinique
Le chef d’Etat-major général des Armées, le général de division Abdoulaye Coulibaly, accompagné des chefs d’Etat-major, et des directeurs de service, a rendu visite, le mercredi 9 octobre 2019, aux blessés de guerre admis à la polyclinique des armées à Kati.
A cette occasion, le général a transmis un message d’engagement et d’encouragement des plus hautes autorités aux blessés. Le général Abdoulaye a également échangé avec lesdits patients sur leurs conditions de traitement et de suivi avant de donner des instructions pour une meilleure prise en charge. La visite a permis au général de constater l’évolution positive des blessures des victimes qui, aujourd’hui, ont un sourire grâce aux prouesses du corps médical.
Fin de concertation dans la commune rurale de Bla
Dans le cadre de la mise en œuvre des Termes de références du Dialogue national inclusif, les forces vives de la commune rurale de Bla participaient les 7 et 8 octobre à une concertation. Celle-ci était tenue dans l’enceinte du centre communal de développement social et de l’économie solidaire de cette commune.
Présidée par le maire de la commune rurale de Bla, la concertation avait pour objet d’établir un diagnostic rigoureux sur les problèmes auxquels le pays se trouve confronté. Et d’analyser de manière participative et inclusive leurs causes et leurs conséquences en vue de proposer des solutions de sortie de crise. Plus de 120 participants issus de toutes les couches de la population se penchaient sur les thématiques de la paix, la sécurité, la cohésion sociale, la gouvernance sociale, l’économie, la finance….
Cercle de Tominian : Des représentants de différentes couches étaient au rendez-vous de la rencontre préparatoire du Dialogue
Dans le cadre du Dialogue national inclusif, une rencontre préparatoire a vu la participation des représentants des couches socioprofessionnelles et confessionnelles dans le cercle de Tominian. En effet, les thématiques abordées portaient sur : la paix, la sécurité, la cohésion sociale, politique et institutionnelle, la gouvernance sociale, l’économie et la finance, la culture, la jeunesse et le sport.
A l’issue des échanges, les participants ont recommandé de faire l’application, voire le suivi de la décision n°2019-039PCT du 2 septembre 2019 portant création d’un cadre de concertation locale pour endiguer l’insécurité et maintenir la cohésion sociale ; et de relire, voire de faire une large diffusion de l’Accord d’Alger. Ils ont aussi demandé le débat sur la révision constitutionnelle conformément aux réalités du pays. Et de sensibiliser la population pour une pluralité politique qui ne détruit pas le tissu social…
Dialogue national inclusif : les recommandations de la commune de Gao
Dans le cadre du Dialogue national inclusif, plusieurs thématiques ont été abordées dans la région de Gao. Des thématiques relatives à la paix, à la sécurité et à la cohésion sociale, à la politique institutionnelle, à la gouvernance, au social…ont fait l’objet d’échange et d’observation entre les participants.
À cette occasion, des propositions de solution ont été aussi faites. En ce qui concerne la paix, la sécurité, et la cohésion, les participants ont proposé la création des conditions de sursaut national pour préserver l’intégrité du territoire national. Cela, estiment-ils, pour consolider la paix, la cohésion sociale, le vivre ensemble et la réconciliation nationale.
S’agissant de la lisibilité du symbole de l’Etat sur l’ensemble du pays, les participants recommandent la création et la mise en œuvre d’une police de proximité, voire le recrutement massif des ex-combattants et la réinsertion des « jeunes résidents » dans la commune pendant l’occupation djihadiste de 2012.
Kangaba : Pour le Dialogue national inclusif, les 09 communes du cercle sillonnées
Les travaux de la phase commune du Dialogue national inclusif se sont déroulés dans les 09 communes du cercle du Kangaba. C’était du lundi 07 au mardi 08 octobre 2019. L’évènement s’est tenu sous la présidence des sous-préfets qui ont fait le tour des différentes zones pour constater le déroulement des travaux. Selon le sous-préfet Allaye Cissé, le Mali est confronté à une série de crises politiques, économiques et sécuritaires. Ces crises, devenues multidimensionnelles à partir de 2012, dit-il, menacent les fondements de notre Nation. Ce qui nous impose selon lui aujourd’hui un dialogue entre les Maliens en vue de construire une vision nationale et concertée à la hauteur des défis de l’heure. « Ces défis sont essentiellement d’ordre sécuritaire, géopolitique, de gouvernance, politique, institutionnel, social, économique, religieux, culturel, climatique, et environnemental », a rappelé le sous-préfet Cissé.
Macina : Les 7 et 8 de ces mois consacrés aux travaux du Dialogue
Les 11 communes du cercle de Macina ont, du lundi 07 au mardi 08 octobre, abrité les travaux du dialogue en cours. C’était sous l’égide des différents sous-préfets. Deux jours durant, ce cadre de concertation a regroupé près d’une centaine de participants par commune qui sont entre autres : des représentants de l’Etat, des élus communaux, des autorités traditionnelles, des religieux, des organisations de la société civile. Cet espace du donner et du recevoir avait pour objectif d’établir un diagnostic rigoureux des problèmes auxquels notre pays est confronté depuis plusieurs décennies, et d’analyser dans une manière participative et inclusive, leurs causes et leurs conséquences en vue de proposer des solutions de sortie de crise. Cela, avec un plan d’action et un chronogramme de mise en œuvre. De ce fait, plusieurs thématiques ont été débattues : la paix, la sécurité et la cohésion sociale, la crise politique et institutionnelle, la gouvernance…
Commune rurale de Diéma : Des journées de concertation sur le Dialogue
La commune rurale de Diéma a, courant les 07 et 08 Octobre 2019, abrité des journées de concertation sur le Dialogue national inclusif. Saisissant cette occasion, les participants ont formulé des doléances relatives à la création d’emplois pour les jeunes, le financement des activités génératrices de revenus pour les femmes, l’identification et la valorisation des sites touristiques.
En outre, ils ont également demandé la restauration des bibliothèques de lecture, la construction d’infrastructures sportives et culturelles pour la jeunesse, la réalisation de nouvelles salles de classe, la dotation en tables-bancs… Ils ont également mis l’accent sur l’insuffisance du nombre d’enseignants au niveau des établissements scolaires ainsi que le maintien des filles à l’école.
Au cours des échanges, les intéressés ont évoqué la problématique de la protection de l’environnement, l’arrêt des grèves intempestives des enseignants passant par leurs mutations arbitraires, l’extension de l’électricité, de la couverture télévisuelle dans la ville de Diéma et environnant…
Source: lepays