L’adage qui dit « On ne tire pas sur un corbillard » doit être enseigné aux détracteurs des Ex- DG de l’INPS et de la CANAM, à défaut de leur faire disparaitre dans ce monde. Profitant de leur fin de mission à la tête de ces deux services, certaines personnes malhonnêtes et sans scrupule tentent de dénigrer Bréhima Noumoussa Dialla et Luc Togo par presse interposée.
Ce qui dénote leur lâcheté et leur aigreur sans limite. Pourtant à y voir de près, ces personnes ingrates étaient les privilégiés de ces deux cadres valeureux où ils ont joui de tous les avantages et le respect de ces deux ex- directeurs. La question qui se pose aujourd’hui comment après avoir vanté les mérites de ces deux dignes hommes au moment où ils occupaient leurs postes de DG pendant ces plusieurs années, ces mêmes gens trouvent brusquement le moyen de les diaboliser en un jour parce qu’ils ne sont plus directeurs. Mais hélas pour ces malheureuses personnes pardon ces aigris sociaux, les maliens savent faire la différence entre le vrai et l’ivraie.
En effet il n’est un secret de polichinelle pour personne, ces deux Ex-DG ont donné de tout leur savoir faire ; offert leurs expériences, leurs efforts physiques pour faire avancer leurs structures. Ils ont fait de l’INPS et de la CANAM, des outils de protection, de sécurité sociale et de développement du capital humain. Si au départ tous ceux qui avaient douté de la compétence de ces deux hommes à mener à bon port ces deux structures, ils ont aujourd’hui fini par reconnaitre leurs mérites et leurs patriotismes à servir le Mali rien que le Mali. Certes tout n’est pas parfait à moins qu’ils soient Dieu, on ne doit pas ternir l’image de ces deux hommes qui ont tout donné pour le bonheur des maliens.
Ces personnes qui en veulent à Bréhima Diallo et à Luc Togo parce qu’ils ne sont plus directeurs doivent s’attendre à des sanctions divines. Et une fois ce jour arriva, personne ne pourra rien faire pour eux car il n’y a pas pour l’instant un médicament contre la malédiction divine. Quant aux deux Ex-DG, ils ne doivent pas regarder dans le rétroviseur mais qu’ils comprennent qu’ils sont des fiertés pour le peuple malien. Ce n’est pas quelques brebis galeuses qui les empêcheront de se faire respecter par les vrais maliens qui sont toujours reconnaissants envers leurs bienfaiteurs.
Moussa Bamba
Source: Mutation