Le président burkinabé réfute la « gravité » de la situation au nord du Mali, citant l’accord du 18 juin signé à Ouagadougou entre les autorités maliennes et les mouvements touaregs.
« Les mouvements comme le MNLA se sont engagés sur l’intégrité du territoire du Mali et le rejet de l’extrémisme religieux. Il peut y avoir des difficultés à rentrer dans l’accord, mais l’accord est là. Il faut amener les groupes à rentrer dans cet accord. »