“En effet, entre le jeudi 9 mars et le vendredi 17 mars 2017, la maternité de Sogoniko en commune VI du district de Bamako, a enregistré la mort de onze (11) nouveaux-nés.
Ces innocents sont morts, non pas parce qu’ils souffraient d’une quelconque maladie, mais par la faute du gouvernement de Modibo Keïta qui a adopté la politique de l’indifférence face à la grève des agents de la santé.
Ils sont morts parce que leurs parents ne sont pas membres de «Ma famille d’abord» qui ne manquent de rien. Ils sont morts parce que leurs parents sont pauvres. Il est incompréhensible que dans un pays qui a inscrit la protection de la femme et de l’enfant comme priorité dans son programme de développement que ces deux couches soient traitées ainsi. »
MOHAMAD AG ACHAROM
La rédaction