Le ministère de l’Education nationale a rendu public, la semaine dernière les résultats des examens du baccalauréat malien, session de juin 2018. Au lycée privé « Les Castors », sur 260 candidats inscrits, toutes séries confondues, 236 ont été admis, soit un taux de réussite général de 92, 76% contre 28% comme taux national.
Depuis sa création en 2009, le lycée privé « Les Castors » ne cesse de produire des excellents dont beaucoup sont boursiers en France et dans d’autres pays, pour poursuivre leurs études.
Réputés rigoureux et disciplinés, les élèves de ce lycée, situé au flanc de la colline de Badalabougou, ont toujours été parmi les meilleurs admis au baccalauréat dans notre pays. Les résultats du baccalauréat, session 2018 viennent confirmer cette belle tradition au lycée privé « Les Castors ». Sur 260 candidats inscrits au titre de l’année scolaire 2017-2018, toutes séries confondues, 236 ont été admis, soit un taux de réussite général de 92, 76% contre 28% comme taux national.
Ce succès au lycée « Les Castors » est le résultat des efforts consentis par l’administration scolaire et le corps professoral d’une part et d’autre part, par les élèves et les parents d’élèves.
En plus de ces mentions, le lycée a enregistré cette année deux premiers nationaux en l’occurrence Mlle Aoua Traoré, élève en Terminale sciences exactes (TSE). Elle a obtenu 17,00 comme moyenne générale au baccalauréat, session 2018
Interrogé par la rédaction, l’administrateur général de l’établissement, Oumar Ibrahima Touré, a salué ce résultat à sa juste valeur. A l’en croire, il est le fruit des efforts du corps professoral, de l’administration, des élèves et des parents d’élèves qui ont placé leur confiance au lycée « Les Castors ».
Rappelons que parmi les admis cette année, 8 ont passé avec la mention Très Bien, 46 avec Bien, et 88 avec Assez Bien. Et en plus, le lycée compte deux premiers nationaux. Comme de coutume, l’établissement présentera cette année encore des candidats au concours de la bourse d’excellence pour des études à l’étranger.
A.T. Dansoko
La rédaction