
crime, il et ses hommes ont mis en place une autre stratégie pour saboter le processus de paix auquel les autres groupes armés avaient adhéré. Ils ont tiré à bout portant sur des forains dans le marché de
Bamba.

Ces attaques terroristes n’ont rien entamé la détermination de l’armée malienne à en finir avec des bandits à col blanc. Et si nous assistons aujourd’hui à ce mode opératoire des années 1990,
la responsabilité est vite située. Il n’est plus ni moins que la marque des éléments de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA). Si ce n’est pas toi, c’est un de tes siens, dit le poète.
L’Inter de Bamako