La cérémonie de lecture de déclaration des motions de soutien des fédérations membres du Comité national olympique du Mali (CNOSM) ainsi que ceux des membres du bureau dudit Comité au président Habib SISSOKO a eu lieu, le mardi dernier, à l’hôtel Dafina.

Les deux déclarations ont été lues respectivement par le président de la FEMABOX, Mamadou SANOGO et la vice-présidente du CNOSM, Mme SANGARE Aminata KEITA.
Les déclarations sont consécutives à la citation du président Habib SISSOKO dans une affaire de détournement de fonds où il a été entendu par la justice malienne. Pêle-mêle, les deux déclarations expriment des soutiens à Habib.
« Le 28 mars 2018, le président du Comité national olympique et sportif du Mali (CNOSM), M. Habib SISSOKO, a été entendu suite à une accusation de détournement de fonds par un ex-agent du CNOSM », rappelle la motion de soutien des fédérations du CNOSM.
Depuis lors, des informations sont relayées de façon exagérée et précipitée sur les réseaux sociaux et sur certains médias accusant le président SISSOKO détourner des ressources appartenant au CNOSM, ont condamné les responsables des fédérations.
Réaffirmant leur soutien à Habib SISSOKO, l’ensemble des fédérations sportives nationales membres du Comité olympique ont exprimé leur surprise et leur indignation par rapport à « cette campagne de dénigrement ».
Selon elles, le président SISSOKO est resté fidèle à ses principes de gestion de transparence et de bonne gouvernance, en tout en rappelant des principes qui régissent le Comité olympique.
« Le CNOSM est régi par des procédures administratives et financières documentées, très strictes et applicables à tous les membres sans exception », note-t-on dans la motion de soutien.
En attendant que cette affaire qui est au niveau de la justice, les fédérations sportives nationales affiliées au CNOSM témoignent et renouvellent entièrement leur confiance au président Habib SISSOKO qui, au fil des années, a transformé le Comité olympique pour en faire un véritable modèle de gestion, de transparence et de bonne gouvernance.

Par Sikou BAH

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