Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne

Affaire Babani-levée d’immunité parlementaire : Cabale contre un candidat propre

Craint-on que la destinée de Me Tall, candidat du CNID-FIT, rejoigne le destin du Mali à l’issue de l’élection présidentielle de cette année ? C’est ce qu’on est en droit de penser au vu de la tempête médiatique soulevée contre lui dans l’affaire qui l’oppose à Babani Koné, le député de Dabia. Les choses se sont empirées avec la levée de son immunité parlementaire. Mais l’homme reste débout malgré la rumeur et la désinformation qui ne cessent de s’enfler.

 Mountaga Tall

Me Mountaga Tall

Cela se comprend en sachant qu’il est sans conteste l’homme politique le plus crédible et le plus côté tant au niveau de la société civile malienne qu’au niveau de l’opinion internationale. Me Tall, qui est l’un des seuls leaders n’ayant jamais été mêlés à un quelconque détournement de biens publics et privés, est conscient de sa victoire prochaine aux élections annoncées. Ses détracteurs et adversaires de tous les jours, depuis l’avènement de la démocratie en 1991, après mille et une tentatives infructueuses, tentent un dernier baroud d’honneur par coup de conspirations, de calomnies et de sordides besognes.

 

 

Mais, ses adversaires et leurs complices qui ont gérés ce pays pendant plus de 20 ans par la corruption, le pillage, le népotisme, le clientélisme,  bref la mauvaise gouvernance, ne peuvent comprendre et accepter la volonté du Dieu créateur en voie d’accomplissement. D’autant que Me Tall propose une politique basée sur la morale, l’équité et le «Danbé» afin de substituer à la pauvreté le bonheur de chacun et de chacune ; à l’injustice et à l’impunité, la justice sociale et économique ; à la corruption et à la délinquance financière, la transparence et la bonne gouvernance.

 

 

Il faut noter que le combat contre Me Tall a atteint son paroxysme avec l’affaire Babani, fabriquée et montée de toutes pièces, «Yé kô kèlê ani djougouya ni assidiya». C’est dire que ses adversaires et complices n’ont pas encore réalisé que «Waati sera». Autrement dit, que le temps est arrivé pour un réel changement et une nouvelle ère dans notre pays auxquels la majorité du peuple aspire cette fois-ci. Mais, pas avec ceux-là même qui n’ont plus rien à prouver aux Maliennes et aux Maliens et qui ne méritent, si ce n’est le contexte de recherche de la paix sociale et de l’unité nationale, que la prison et le châtiment de Dieu pour leurs forfaits.

 

 

Pour son honneur et l’éclatement de toute la vérité dans cette dite affaire de «Babani» et de façon définitive, Me Mountaga C. Tall avait souhaité lui-même en son temps la renonciation à son immunité parlementaire afin de vider ce contentieux derrière lequel se cachent des esprits malsains.

 

 

Fidèle aux principes de valeurs sociétales et culturelles «Danbé» de notre pays basés sur le dialogue et la préservation en tout lieu et en toute circonstance de la dignité humaine, fort des conseils et des conciliations menés par différents groupes de personnes, Me Mountaga C. Tall avait cru bon de surseoir et de régler cette affaire conformément aux vertus ci-dessus énoncées.

 

 

C’était sans compter sur la perspicacité des mentors et sous-marins de l’ «homme en question» qui n’ont jamais accepté la nouvelle donne politique du pays, un fait de Dieu ; et qui n’ont jamais pardonné à Me Tall sa grande lucidité, sa clairvoyance constante et la marque de sympathie de l’opinion publique à son endroit.

 

 

Des aveux interceptés au niveau de certains de ses adversaires concourent à dire «que nous autres, puisque nous sommes tous sales et décrédibilisés, faisons en sorte que Me Tall soit de même afin que nous soyons  tous à égalité de chance devant les électeurs» en sachant que les prochaines élections se joueront sur la personnalité et la crédibilité du candidat et non son appartenance à tel ou tel parti ou regroupement politique.

 

 

Les Maliennes et les Maliens ne sont pas dupes et ne se laisseront plus abusés par ceux qui, pendant plus de 20 ans, n’ont cessé de leur mettre de la poudre aux yeux, et sont plus que débout, en campagnes comme en villes, à l’intérieur comme à l’extérieur, pour un véritable renouveau et réel changement de cap dans notre pays.

 

 

Sans anticiper sur le jugement des juridictions dans les jours à venir, il apparaît clairement que, s’il y a un coupable, il faut le chercher ailleurs selon l’adage «qui a bu boira».

Aminata BAGHAGHA

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne
Ecoutez les radios du Mali sur vos mobiles et tablettes
ORTM en direct Finance