Récompenser les jeunes les plus influents de l’année pour leurs efforts en faveur de l’essor du Mali, inciter les autres jeunes à leurs emboiter le pas afin d’assurer un meilleur avenir au Mali tout en leur déviant des routes dangereuses de la migration sont entre autres les objectifs de Kèwalè people qui récompense depuis quatre ans les jeunes influents du Mali. Les récipiendaires de la quatrième édition ont reçu leurs distinctions le lundi 25 Mars 2019 à l’Institut Français.
« C’est dans le but de montrer une image positive du Mali, de monter aux jeunes que malgré les difficultés que certains parviennent à faire bouger les choses et à s’imposer en réalisant leurs rêves grâce à leurs efforts. Ces braves jeunes ne doivent pas rester dans l’ombre et c’est la raison pour laquelle nous décidé d’initier cette soirée afin de les récompenser et de montrer à d’autres qu’il est belle et bien possible de réussir au Mali » c’est par ces notes d’espoir que l’initiateur de la nuit Cheick Abass Koita a entamé ses propos.
Selon lui, c’est une façon pour lui et les membres de son équipe de mettre au devant de la scène des jeunes qui œuvrent pour le développement du Mali et luttent contre le chômage chronique des jeunes en employant d’autres jeunes. Cheick Abass Koita a fait savoir qu’ils nomment plusieurs jeunes et que c’est à travers les votes des internautes qu’ils choisissent les 21 meilleurs qui se distingueront afin de leur offrir des trophées.
Lors de la soirée, les 21 Jeunes qui se sont mieux distingués durant l’année 2018 de part leur impact positif sur le développement du Mali ont reçus des trophées comme Kassim Traoré de la Radio Kledu, Moussa Kondo du journal express de Bamako, Coumba Bah de la Radio liberté, Mama Lah, Mohamed lamine Sangaré dit Momo de paris, Mamadou Gassama dit Gaspi, Kamissa Camara ministre des affaires étrangères et de la coopération internationale, Aliou Djitteye etc. Sont des jeunes dont la jeunesse malienne doit s’inspirer pour bâtir le Mali de demain, un Mali émergent et débordant d’énergie positive.
Moussa Samba Diallo
Source: Le Républicain