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3EME SESSION ORDINAIRE DU CONSEIL DU DISTRICT DE BAMAKO : UNE NOUVELLE FIXATION DES TAXES

M.Adama Sangaré, maire du district de Bamako a présidé les travaux de la 3eme session ordinaire du conseil du district de Bamako. C’était hier mardi 01er septembre 2020, dans la salle de conférence de ladite structure, en présence des conseillers du district de Bamako ; des chefs de services de la mairie du district de Bamako ; du coordinateur des chefs de quartiers du district de Bamako ; des responsables des syndicats des collectivités du district de Bamako.

 

Le maire du District de Bamako, M. Adama Sangaré a souhaité la bienvenue à l’assistance, en ce mois béni du calendrier musulman. Il a indiqué que cette 3ème Session Ordinaire du Conseil du District se tient dans un contexte particulier de la vie de notre pays, une occasion de parler de la capitale, de ses habitants et de leur vie quotidienne.

Selon lui, « conformément aux dispositions de la Loi n°2017-053 du 02 octobre 2017, portant Statut Particulier du District de Bamako, relatives aux attributions du Conseil, les sujets ci-après sont soumis à l’examen. Il s’agit de : l’élaboration du Programme de Développement Economique, Social et culturel (PDSEC) pour la période 2021-2025; la construction de deux fourrières sur les deux rives du fleuve Niger à Bamako ; la fixation au titre de l’année 2021, des taux des impôts et taxes du District de Bamako dans le cadre des bases et des maxima fixés par la loi ; l’institution d’une régie de recettes à la Mairie du District de Bamako : l’examen et le vote de virements de crédits dans le budget de l’exercice 2020 ».

Il a rappelé que le Programme de Développement Economique, Social et Culturel (PDESC) est un outil de planification dans lequel est inscrit l’ensemble des actions de développement de la collectivité pour une période déterminée.

« Loin d’être seulement une liste de problèmes à résoudre ou de besoins à satisfaire, il est un ensemble d’actions à mettre en œuvre pour l’amélioration progressive des conditions de vie des populations. Ce processus passe nécessairement par la valorisation des potentialités locales et la collaboration de l’ensemble des acteurs sociaux », a-t-il laissé entendre. « La fixation des taux (…)

RETROUVEZ L’INTEGRALITE DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MERCREDI 02 SEPTEMBRE 2020

Aïcha CISSÉ

NOUVEL HORIZON

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