Les points inscrits à l’ordre du jour étaient l’examen et l’adoption du procès-verbal de la session précédente, la présentation et l’adoption du rapport du Directeur de la CTAC au titre de l’année 2019, le point d’exécution des recommandations de la 15è session, la présentation et l’adoption du programme d’activités prévisionnel 2020 de la CTAC, la présentation et l’adoption des états financiers 2019 et du budget prévisionnel 2020.
Pour le premier adjoint au Maire du district de Bamako, la modification des textes de création, d’organisation et de fonctionnement donne à la CTAC de nouvelles perspectives qui lui permettront d’intervenir sur l’ensemble du territoire.
» La CTAC est présente à Ménaka comme assistant de l’AGETIPE, maître d’ouvrage délégué du projet de stabilisation de la région de Ménaka, à Markala et à Sikasso comme maître d’ouvrage délégué du projet ACEFOR « , a-t-il indiqué.
Il affirme que la CTAC a rencontré quelques difficultés dans le cadre de la mise en œuvre de certains grands projets qui ont largement affecté les recettes de la structure.
» Il revient donc à la direction de la CTAC de veiller à la bonne exécution de tous les projets à lui confiés par les collectivités afin de mériter leur confiance « , a-t-il souligné.
Selon Harimakan Kéïta, malgré le contexte difficile, la CTAC a réalisé un résultat de 27.541.609 FCFA contre 15.341.113 FCFA à l’exercice précédent, soit une augmentation de 79,52%.
Il a indiqué que le budget prévisionnel de l’année 2020 s’élève à la somme 777.660.457 FCFA. A cet effet, il a invité les administrateurs à un examen minutieux des documents afin de redonner à la CTAC une nouvelle impulsion conformément aux exigences de développement de nos collectivités.
La CTAC est un outil technique disposant d’une grande expérience dans l’accompagnement des collectivités.
» Je voudrais vous demander de l’approcher dans le cadre de l’identification, des études et de la mise en œuvre de vos projets d’infrastructures« , a exhorté le premier adjoint au maire du district de Bamako.
Abdoul DEMBELE
Source: l’Indépendant