Connu dans le monde entier, l’artiste malien multiplie les prises de position polémiques en concert et sur les réseaux sociaux. Autrefois défenseur de la démocratie, il étrille aujourd’hui la France et tous ceux qui, à ses yeux, combattent les intérêts de son pays.
En ce jour de janvier 2020, le personnel de l’aéroport de Conakry s’est figé. Salif Keïta, la « voix d’or de l’Afrique », vient de se voir refuser l’accès aux fauteuils beiges du salon VIP tout juste inauguré, et n’a pas l’air d’apprécier. « On m’a foutu dehors », tempête l’artiste malien, vexé.
Source : Jeuneafrique