Après avoir rejeté les recommandations de la CEDEAO, le M5-RFP, qui réclame «la démission du président IBK et de son régime», a repris, hier lundi, ses actes de «désobéissance civile» à Bamako et dans plusieurs régions du pays. Sa jeunesse, fer de lance de la contestation, a adopté, à cet effet, une nouvelle stratégie consistant à perturber l’administration publique, en fermant plusieurs services sans barricader les routes.
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Source : l’Indépendant