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“Kati ne fera plus peur à Bamako”, Président IBK

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Rentré précipitamment mercredi soir de Paris où il était en visite, IBK a tenu un discours de fermeté à l’endroit des militaires.

 

“Ma visite parisienne a été écourtée (…) J’ai dû interrompre cette rencontre importante de mobilisation pour le Mali à cause des événements de Kidal, de Kati et de Tombouctou”, a déclaré Ibrahim Boubacar Kéita.

 

Mais “on ne me trimbalera pas, j’ai d’ailleurs instruit le gouvernement de procéder sans délai à la liquidation des comptes et à l’établissement de procès verbal de dissolution du comité militaire pour la reforme des forces armées de sécurité et de défense”.

 

Le chef de l’Etat a demandé aux chefs militaires maliens de s’assumer et que la hiérarchie prévale.

 

Il a assuré que rien ne le divertira de son devoir. “Aucun danger, aucun risque, aucune intrique”, a t-il poursuivit, en assurant “aux auteurs des évènements honteux de Kati” que “Kati ne fera plus peur à Bamako, en tout cas pas à Koulouba”.

 

Ibrahim Boubacar Kéita a par ailleurs tendu la main aux groupes rebelles touaregs du nord du Mali.

 

“Ceux qui à Kidal continuent le chantage, la violence et la violation de l’accord du 18 juin signé à Ouagadougou (…) Ma main reste tendue, laissons de côté chers frères la kalachnikov qui n’a aucun avenir et renouons ce dialogue”, a-t-il conclu.

 

Le Mali a connu plusieurs scènes de violences en fin de semaine dernière avec un attentat suicide ayant fait au moins 2 tués à Tombouctou (nord), des affrontements à Kidal (nord-est) entre rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et les soldats maliens pendant 48 heures, et des mouvements d’humeur d’une trentaine d’anciens militaires putschistes dans la ville garnison de Kati, d’où est parti le coup d’Etat de mars 2012 qui a renversé l’ex-président Amadou Toumani Touré.

 

BBC

 

Source: BBC

 

 

Rentré précipitamment mercredi soir de Paris où il était en visite, IBK a tenu un discours de fermeté à l’endroit des militaires.

 

“Ma visite parisienne a été écourtée (…) J’ai dû interrompre cette rencontre importante de mobilisation pour le Mali à cause des événements de Kidal, de Kati et de Tombouctou”, a déclaré Ibrahim Boubacar Kéita.

 

Mais “on ne me trimbalera pas, j’ai d’ailleurs instruit le gouvernement de procéder sans délai à la liquidation des comptes et à l’établissement de procès verbal de dissolution du comité militaire pour la reforme des forces armées de sécurité et de défense”.

 

Le chef de l’Etat a demandé aux chefs militaires maliens de s’assumer et que la hiérarchie prévale.

 

Il a assuré que rien ne le divertira de son devoir. “Aucun danger, aucun risque, aucune intrique”, a t-il poursuivit, en assurant “aux auteurs des évènements honteux de Kati” que “Kati ne fera plus peur à Bamako, en tout cas pas à Koulouba”.

 

Ibrahim Boubacar Kéita a par ailleurs tendu la main aux groupes rebelles touaregs du nord du Mali.

 

“Ceux qui à Kidal continuent le chantage, la violence et la violation de l’accord du 18 juin signé à Ouagadougou (…) Ma main reste tendue, laissons de côté chers frères la kalachnikov qui n’a aucun avenir et renouons ce dialogue”, a-t-il conclu.

 

Le Mali a connu plusieurs scènes de violences en fin de semaine dernière avec un attentat suicide ayant fait au moins 2 tués à Tombouctou (nord), des affrontements à Kidal (nord-est) entre rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et les soldats maliens pendant 48 heures, et des mouvements d’humeur d’une trentaine d’anciens militaires putschistes dans la ville garnison de Kati, d’où est parti le coup d’Etat de mars 2012 qui a renversé l’ex-président Amadou Toumani Touré.

 

BBC

 

Source: BBC

“Ma visite parisienne a été écourtée (…) J’ai dû interrompre cette rencontre importante de mobilisation pour le Mali à cause des événements de Kidal, de Kati et de Tombouctou”, a déclaré Ibrahim Boubacar Kéita.

Mais “on ne me trimbalera pas, j’ai d’ailleurs instruit le gouvernement de procéder sans délai à la liquidation des comptes et à l’établissement de procès verbal de dissolution du comité militaire pour la reforme des forces armées de sécurité et de défense”.

Le chef de l’Etat a demandé aux chefs militaires maliens de s’assumer et que la hiérarchie prévale.

Il a assuré que rien ne le divertira de son devoir. “Aucun danger, aucun risque, aucune intrique”, a t-il poursuivit, en assurant “aux auteurs des évènements honteux de Kati” que “Kati ne fera plus peur à Bamako, en tout cas pas à Koulouba”.

Ibrahim Boubacar Kéita a par ailleurs tendu la main aux groupes rebelles touaregs du nord du Mali.

“Ceux qui à Kidal continuent le chantage, la violence et la violation de l’accord du 18 juin signé à Ouagadougou (…) Ma main reste tendue, laissons de côté chers frères la kalachnikov qui n’a aucun avenir et renouons ce dialogue”, a-t-il conclu.

Le Mali a connu plusieurs scènes de violences en fin de semaine dernière avec un attentat suicide ayant fait au moins 2 tués à Tombouctou (nord), des affrontements à Kidal (nord-est) entre rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et les soldats maliens pendant 48 heures, et des mouvements d’humeur d’une trentaine d’anciens militaires putschistes dans la ville garnison de Kati, d’où est parti le coup d’Etat de mars 2012 qui a renversé l’ex-président Amadou Toumani Touré.

BBC

Source: BBC

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