Ils sont une trentaine d’officiers français et africains réunis à Draguignan, dans le sud-est de la France, pour un stage d’un nouveau genre lancé par Paris, qui cherche à reformer ses relations militaires avec l’Afrique après avoir été chassée de plusieurs pays.
Comment fait-on pour qu’un petit état-major fonctionnement efficacement ? C’est ce qu’étudient en ce moment des officiers issus de quinze pays africains, dont le Gabon ou le Cameroun, auprès de formateurs français, à Draguignan.