Le leader de l’ONG Urgences Panafricanistes a déclaré ne pas être affecté par cette décision des autorités françaises. « La décision du Conseil d’État arrive tardivement, mais mieux vaut tard que jamais », a-t-il affirmé.
De plus, Kemi Seba a mentionné que sa lettre de demande d’abandon de nationalité reposait sur le bureau de son avocat depuis plusieurs mois, prête à être utilisée en cas de désaveu du ministère de l’Intérieur par le Conseil d’État.
Par ailleurs, cette décision vient renforcer la détermination du panafricaniste dans sa lutte contre la Françafrique. « C’est maintenant que tout commence. Vous venez de nous rajouter des tonnes de litres d’essence dans notre moteur politique », a-t-il écrit.
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