Par la rédaction de Puretrend.com
Mercredi soir, Valérie Trierweiler était au Théâtre des Champs-Elysées à l’occasion du 20e Gala Musique contre l’oubli. Un événement organisé par Amnesty International qui vise à lutter contre les violations des droits humains.
Depuis qu’elle a quitté le Palais de l’Elysée et son rôle de Première Dame, Valérie Trierweiler s’est lancée à corps perdu dans l’engagement humanitaire. Et à ceux qui pensaient que son voyage en Inde en début d’année n’était qu’un coup de com après sa rupture difficile, son militantisme lui n’a pas faibli.
Hier soir, l’ex-journaliste politique (qui préfère déserter les rédactions au profit de l’engagement de terrain) était au Théâtre des Champs-Elysées pour assister à la 20e édition du Gala Musique contre l’oubli. Un événement organisé par Amnesty International et qui a résonné cette année au son des cordes de l’orchestre de Paris.
La soirée à but caritatif souhaite éveiller les consciences aux violations des droits humains et soutenir la lutte contre la torture. Pour cette édition, Amnesty International a mis le projecteur sur Moses Akatugba, un condamné à mort aux Nigéria dont les aveux ont été obtenus sous la torture. Une pétition pour défendre ses droits était mise à la disposition des participants.
C’est dans une tenue toute en soie que l’ancienne Première Dame a fait son arrivée au gala. Une tenue parme et noire mettant en valeur celle qui souhaite aujourd’hui prendre la parole au nom des plus démunis. Et si l’événement – dont la marraine cette année n’était autre qu’Emmanuelle Béart (qui s’est récemment pliée à l’exercice de l’interview vérité) – se voulait glamour, Valérie Trierweiler n’en n’oublie pas le fond.
Ainsi, tandis que la Coupe du monde bat son plein et que les journalistes ultra-sexy font le buzz, elle a tenu à rappeler le combat pour la libération des lycéennes nigérianes (…) Lire la suite sur purepeople.com