C’est l’après-IBK qui semble s’imposer comme une évidence aux émissaires de la CEDEAO, lesquels ont engagé, depuis samedi, une série de discussions avec les responsables du Comité national pour le salut du peuple (CNSP). Au cours des rencontres, à huis clos il a surtout été question de la remise en marche de l’Etat sans «le retour d’IBK» aux affaires. Cela, contrairement à la position ferme affichée par l’Organisation sous-régionale, lors de son sommet virtuel sur la situation au Mali.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant