Les militaires qui ont pris le pouvoir en août au Mali ont renoncé à ce que leur chef puisse remplacer le président dans la transition censée ramener les civils à la tête du pays, selon un document officiel publié jeudi 1er octobre et organisant cette période transitoire.
La junte accède ainsi à une exigence primordiale de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) pour lever les sanctions imposées au Mali le 20 août, deux jours après le putsch qui a renversé le président Ibrahim Boubacar Keïta.
Source: Le Figaro du Mali
RFI