Madame Ramada Ndiaye n’a rien à voir avec tout ce qui a été cité dans cet article.
À travers une correspondance particulière envoyée et publiée sur le site Letchadanthropus-tribune, l’auteur ou les auteurs de l’article en question ont fait appel à leur imagination en voulant faire gober un scénario aux lecteurs en ligne.
Tous les Tchadiens qui ont suivi le Mano à Mano entre l’IGE et le ministère du plan et à l’économie connaissent l’histoire du pourquoi l’inspection générale de l’État avait voulu entendre le ministre Issa Doubragne et l’ancien DG du ministère Houlé Djonkamla. Le reste est entre les mains de la Cour suprême qui est en train de faire son travail. Toutes autres imaginations écrites demeurent vaines à partir du moment où la justice s’est saisie du dossier et dira ce que de droit.
Alors… pourquoi vouloir salir d’autres cadres du ministère qui n’ont aucun pouvoir de légiférer dans cette affaire ?
Madame Ramada NDiaye est une jeune femme intègre, et rien ne justifie le fait qu’elle soit citée avec légèreté dans une histoire de cabale imaginée et cousue de fil blanc. Tout son parcours plaide pour elle, et jamais lors de ses précédents passages professionnellement quelque part, elle ne fut incriminée de quoi que ce soit.
Certains de nos compatriotes sont devenus fort malheureusement de grands hypocrites qui forgent les lacunes de leurs incompétences en causant du tort aux autres. Ils font leurs propres bêtises et portent l’index sur l’autre. Ni madame Ramada Ndiaye, ni monsieur Ngario Joseph n’a rien à voir ni directement ni indirectement avec une histoire entre l’IGE et le ministère en question. Qu’on sache régler ce problème dans le contexte de la convocation émis par l’IGE.
En écrivant cet article truffé de plusieurs cas mensongers, on a voulu faire porter ombrage à une femme qui est citée pour ses compétences et son expérience, mais la vérité jaillira un jour ou chaque individu assumera ses faits et actes.
Correspondance particulière
Tchadanthropus-tribune