De nos jours, les réseaux sociaux sont devenus les instruments indispensables de l’ère, celle du 21e siècle. Cependant, ils sont pour l’heure bourrés de fake news et autres rumeurs qui envahissent totalement les esprits.
Les réseaux sociaux sont sans aucun doute l’instrument sine qua non pour l’harmonisation technologique de l’humanité. Pour les uns et les autres, il est évidemment que c’est un outil qui facilite beaucoup de choses à l’époque actuelle. Mais son utilisation est faite pour bon nombre de personnes de façon à faire ou véhiculer des informations erronées (fausses informations ou Fake news, rumeurs ou propagandes, entre autres). Peut-être que son fonctionnement n’est pas compris du grand public. Ici, il s’agit des réseaux sociaux comme : Facebook, WhatsApp, Twitter, YouTube, Instagram et bien d’autres qui sont sans doute indispensables pour tout travail ou activité professionnelle, des activités médiatiques de nos jours, entre autres. En ce 21e siècle, celui de la révolution technologique, l’on a l’impression de faire du réseau social un instrument pour créer la panique ou faire en sorte pour que les fausses informations, aux yeux de tous, aient plus d’importance que les bonnes informations. Ce n’est pas une question de principe qu’on en train d’afficher à ce niveau, mais celui du bon sens pour celui qui le fait ou publie à juste titre. Pourtant, le réseau social est fait pour en effet véhiculer les informations : les bonnes, se faire informer, réduire les distances (se communiquer entre eux), accès facile à des documents d’études, etc. Au Mali, ce ne serait pas pour ces fautifs-là. Les rumeurs et les fake news ont dépassé toutes compréhensions. Car ici les personnes annoncées mortes ne sont pas mortes, et les morts pour de vrai ne sont pas morts. Le cas de Djénéba Diakité, tictokeuse qui s’amuse avec sa grand-mère, en est la parfaite illustration. Elle avait été annoncée pour morte alors qu’elle vivait en bonne santé chez elle. Autant d’autres qui illustrent sans ambages : les fake news et rumeurs sont des maux sur les réseaux sociaux.
Moriba DIAWARA
Source: LE COMBAT