Depuis un certain temps, l’amalgame est entretenu autour du rapport du Vérificateur général. Certains n’hésitent même pas à citer le nom de certains ministres en fonction pour des faits antérieurs à leur gestion.
Faut-il le rappeler si besoin en était que le rapport 2012 du VGAL porte sur des vérifications de gestion des années 2009, 2010, 2011 et le premier trimestre 2012. Donc des faits antérieurs à ce gouvernement de transition.
Une certaine retenue est recommandée pour éviter de salir l’honorabilité des gens qui n’ont rien avoir avec cette période de gestion. Aussi, les agitateurs se devaient de comprendre que les conclusions du rapport du VGAL ne sont que des dénonciations, loin d’être une condamnation définitive.
Ibrahim M.GUEYE
SOURCE: Le Prétoire