Les femmes victimes de torture, de harcèlement sexuel, et de mariage forcé lors de la crise de 2012 à Tombouctou réclament réparation et justice. Elles affirment attendre avec impatience le jugement d’Al Hassan Ag Abdoul Aziz Ag Mohamed Ag Mahmoud dont le procès a été reporté par la CPI au mois d’août prochain. Mais ces victimes disent être prêtes « à pardonner » à condition que le coupable soit jugé et présente publiquement ses excuses.
Source: studiotamani