Les maliens restent unanimes que le Président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) sera candidat à sa propre succession tout comme le candidat malheureux de 2013, Soumaila Cissé. Tout comme à l’Adéma où la confusion règne, pendant que certaines formations politiques n’arrivent toujours pas à choisir un candidat fiable
Loin de ces enjeux et calcules politiciennes, certains jeunes veulent tendre la main à une personnalité malienne dotée d’expérience et d’une grande capacité d’action, il s’agit de Mamadou Igor Diarra. Déjà tous les indicateurs montrent que l’élection présidentielle de 2018 sera sans pareille en terre malienne. Au bout des scrutins qui pointent à l’horizon en 2018 certains partis politiques vont inévitablement mordre la poussière. Le Mali est dans le gouffre, le pays tourne au ralenti. Le régime IBK a montré ses limites depuis le début de son mandat à nos jours.
Ce phénomène a largement contribué à briser son côte de popularité. Même si ces derniers temps il est entrain d’envahir la scène politique, le chef de l’Etat n’a pu panser les plaies qui gangrènent la nation. Ces raisons ont poussé les citoyens soucieux de l’avenir du Mali à tendre la main à un digne fils du pays au parcours élogieux Mamadou Igor Diarra pour sauver la situation.
C’est dans cette perspective que le samedi 18 novembre 2017, les membres et sympathisants du club des amis de Mamadou Diarra Igor venus des 6 communes de Bamako, ont tenu une réunion d’information au foyer des jeunes de Quinzambougou pour dresser l’état des lieux désastreux du pays ayant motivé leur choix pour un homme capable de relever le défi.
Les débats ont porté sur le rôle des femmes et des jeunes au sein de la société malienne. Les débats furent riches et animés, les personnes présentes ont démontré une réelle volonté de se battre pour améliorer la situation du pays, de facto leur propre situation. Les organisateurs ont promis de créer une véritable vague en faveur de Mamadou Igor Diarra, qui a su montrer ses capacités au cours de son parcours professionnel, au Mali et à l’étranger.
A suivre..
A.E S