Le bureau officiel de la Plateforme «Défendons le Mali» a été investi mercredi dernier, 20 février 2019 au Mémorial Modibo Kéita de Bamako. Présidé par Mme Sidibé Fatoumata Sacko dite Djina, cette équipe s’est assignée comme mission de descendre sur le terrain pour expliquer et faire comprendre au peuple malien les grandes réformes envisagées par le président Ibrahim Boubacar Kéita tout en défendant ses actions de développement.
Ils n’ont pas hésité à se mettre en ordre de bataille pour concrétiser «le rêve d’un deuxième mandat en une réalité vivante». Et aujourd’hui, ils ont décidé de poursuivre leur combat politique en restant unis et soudés au sein de la Plateforme patriotique défendons le Mali. Et pour soutenir IBK et lui permettre de réaliser son projet de société, Sidibé Fatoumata Sacko dite Djina et sa troupe sont déterminés à faire face à l’hostilité, à l’adversité, à la calomnie et la médisance.
La Plateforme «Défendons le Mali» se veut le vecteur d’un message d’union pour soutenir le président de la République et le Mali. «Par la volonté suprême, IBK a le privilège de la destinée du pays. Notre rôle c’est de l’accompagner et de le soutenir. Notre conviction c’est l’union fait la force. Notre ambition c’est un Mali qui avance», a martelé la présidente Sidibé Fatouma Sacko.
Et de poursuivre, «c’est ce rôle, cette conviction et cette ambition qui fondent notre action». Et pour Djina, il ne s’agit nullement «d’un accompagnement obnubilé de laudateurs de mauvais goût». Mais, d’un «accompagnement forgé dans la conviction du projet présidentiel… Un accompagnement né dans la douleur de la lutte politique. Jamais notre pays n’a été autant divisé, jamais il n’a été autant polarisé par la férocité des positions… Ceux qui ont animé ces querelles pour un siège ou des avantages quelconques n’ont toujours pas compris qu’il faut mettre le Mali au dessus de tout».
Heureusement, a rappelé la présidente de la Plateforme, «nombreux sont désormais les Maliens qui ont compris que le Mali n’a pas son intérêt dans la division. Et c’est pourquoi ils se sont donné la main pour aider à la paix, au développement et à la cohésion sociale».
Et pour défendre le Mali et son président, elle se veut «une armée civile de petites et de grandes mains pour boucher les trous de la jarre et sauver le pays, comme le dit si bien le grand roi Béhanzin». «Défendons le Mali» est donc composée par «des femmes et des hommes dotés de compétences exceptionnelles pour faire avancer le pays et le défendre envers et contre tous».
A la cérémonie de lancement des activités étaient présents l’ancien secrétaire général de l’AEEM Abdoul Salam Togola ; le président du mouvement Arc-en-ciel Mali, Ismaïla Diallo ; Bouba Fané, Abdoul Niang et de nombreux défenseurs des actions du président Kéita. La rencontre a été également rehaussée par la présence de l’honorable Karim Kéita ; le maire de Ouenkoro, Harouna Sankaré ; l’artiste rappeur Gaspi…
Kader Toé
Source: Le Matin