Pouvoir visiter le monde sans avoir à quitter son salon. N’est-ce pas là le rêve de toute une vie ? Réjouissez-vous, c’est désormais possible.
En effet, grâce à la carte interactive Sightsmap, vous pouvez accéder à des photographies des villes du monde entier. Concrètement, ce service créé par Google et basé sur le réseau social de partage de photographies géolocalisées Panoramio présente les lieux les plus immortalisés de la planète. Ainsi tout simplement, plus les icônes sont de couleur jaune, orange ou rouge, plus elles sont populaires. Mais cette carte interactive va encore plus loin : en effet, elle permet aussi d’explorer les monuments les plus photographiés dans les villes en questions et ce toujours grâce aux utilisateurs du réseau Panoramio. Ainsi, à Paris, il est par exemple possible de « visiter » le Louvre, le Musée d’Orsay ou encore la Tour Eiffel. A noter enfin que les icônes sont reliées à plusieurs autres fonctionnalités telles que Streetview, l’encyclopédie en ligne Wikipedia, mais aussi TripAdvisor ou encore le réseau social Foursquare, permettant à l’utilisateur d’indiquer sa géolocalisation. Dès lors, voici le top 5 des villes les plus photographiées au monde : En première position, on retrouve New York. De la Grosse Pomme, les cinq lieux les plus photographiés et qu’il est possible de « visiter » sont : le Musée Guggenheim, le Tweed Corthouse, l’Empire State Building, Battery Park et enfin le Grand Central Terminal Park Avenue Viaduct. En seconde position du classement : Rome dont les cinq endroits les plus « flashés » sont : l’Église et l’abbaye de la Trinité-des-Monts, la fontaine de Trevi, la Piazza del Popolo, le Panthéon et la colonne de Trajan. Sur la dernière marche du podium des villes les plus photographiées du monde : Barcelone. Lieu le plus pris en photo dans la capitale catalane : le parc Guell, l’une des plus importantes réalisations de l’architecte Gaudi. Autre monument de Gaudi régulièrement photographié : la Casa Battlo.Dans la suite du classement viennent les villes de Paris, Istanbul, Venise, Monte-Carlo, Florence, Buenos Aires et Budapest.
Syrie : SAUVE IN EXTREMIS
Un bébé a été retrouvé vivant dans les décombres après qu’une violente explosion a pulvérisé l’immeuble où il vit C’est un véritable petit miraculé qui a réussi à sortir vivant de ce tas de gravats après qu’une violente explosion a pulvérisé son immeuble. Attaquée par les forces de Bachar el-Assad, cette habitation en Syrie a été le théâtre d’une véritable chaîne de solidarité pour extraire le plus rapidement possible cet enfant de cet amas de pierres. Après la destruction d’un immeuble à Alep en Syrie, un bébé a réussi à être sauvé in extremis par plusieurs hommes qui se sont dépêchés de creuser les décombres avec leurs mains afin de sortir l’enfant vivant. Huit minutes d’angoisse qui se terminent dans la liesse. Le 22 janvier dernier, une bombe explose dans le quartier Almasranih où se trouvent concentrées plusieurs habitations. Lancées par les forces de Bachar el-Assad, les attaques touchent alors plusieurs habitations, dont cet immeuble qui s’est retrouvé littéralement soufflé par la détonation. Après le drame, personne n’imagine que quelqu’un est encore vivant sous cet amas de pierres. Pourtant, des hommes vont réussir à sauver la vie d’un enfant resté pris au piège sous les décombres en creusant de longues minutes à mains nues pour le sortir de là. Durant huit minutes, un groupe constitué d’une dizaine d’hommes va ainsi creuser sans relâche les gravats et les débris afin de sortir le plus rapidement possible ce bébé parfaitement conscient lorsque celui-ci a été extrait de son tombeau de pierres. Après des minutes interminables, la tête de l’enfant apparaît enfin, puis c’est son corps tout entier qui parvient à être dégagé sans que l’enfant ne souffre d’aucune blessure. Explosion de joie immédiate chez les hommes qui ont réussi à sauver le bébé en voyant celui-ci sain et sauf sortir de ce champ de ruines après une attaque qui aura fait plusieurs morts, dont de nombreux enfants. Des barils d’explosifs largués sur une autoroute. D’après les informations livrées avec cette vidéo postée sur les réseaux sociaux, c’est un raid de l’armée syrienne qui serait à l’origine de cette explosion dans le quartier Almasranih.
Six jours non-stop à vélo
Pierre-Michaël Micaletti a terminé lundi son incroyable défi en parcourant 2738 km en six-jours non-stop, au guidon de son vélo sur rouleaux à l’hôpital d’Evreux (en France). « C’est tout simplement énorme! Honnêtement, j’avais un doute sur le nombre de kilomètres que je pouvais réaliser, mais atteindre une telle distance, c’est un très bon score », a-t-il confessé une fois descendu de sa machine, de bonne humeur comme à son habitude mais physiquement éprouvé. « Je me sens quand même fatigué. Hier, c’était compliqué et je ressentais la douleur. Du coup je me suis préparé pour un atterrissage en douceur, qui s’est très bien passé. Ce soir, j’attends avec impatience ma vraie première nuit de 9 heures », a-t-il précisé avec le sourire. Devant un public de plusieurs dizaines de personnes, il a fièrement tendu une feuille sur laquelle était marqué « 2738 km ». Parti mardi 21 janvier à 13h00, il a parcouru l’équivalent d’un Tour de France sur un vélo à pignon fixe qui n’autorise aucun arrêt de pédalage. A travers ce défi sportif et humain, parrainé par Bernard Hinault, quintuple vainqueur de la Grande Boucle, Micaletti, spécialiste des courses sur très grande distance, voulait lancer un clin d’oeil à ces épreuves mythiques des Six jours de la fin du XIXe siècle. « Depuis son départ, il ne s’est accordé que 12 heures de pause, avec 1h à 1h30 de sommeil par jour. Ce type est dingue », a témoigné Cyril Lebordais, son agent.
