Au moment où tous les acteurs impliqués dans la résolution de la crise malienne étaient présents à Bamako, l’ancien premier ministre, Moussa Mara, était en France pour le lancement de son nouveau livre : « Jeunesse Africaine, le Grand défi à relever’’. Joint au téléphone afin d’avoir son avis sur l’AN I de l’accord, l’ancien premier ministre se montre positif : « soyons optimistes pour la suite ». Cette seule phrase prouve l’attachement de Moussa Mara à l’accord de paix d’Alger qu’il n’a d’ailleurs cessé de défendre à travers des contributions (articles) parues dans certains journaux nationaux et étrangers.
Aujourd’hui, il est mieux placé pour parler de cette crise. Il a eu à la gérer étant premier ministre et a même effectué un déplacement à Kidal afin de constater la présence de l’administration et prouver au reste du Monde que Kidal est une partie intégrante du Mali.
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Source : Le Pays