« Je suis très affecté, je suis très atterré comme tous ceux qui ont connu ces personnes mais aussi comme tous ceux qui sont contre le meurtre, quelqu’en soit la raison. Et pour cela, permettez-moi avant tout de présenter mes condoléances à la rédaction de RFI, à tous les amis journalistes de RFI et au gouvernement français. »
Pour le ministre des Affaires étrangères nigérien Mohammed Bazoum, l’enlèvement et la mort de nos confrères Ghislaine Dupont et Claude Verlon ne sont pas liés aux frustrations éventuellement vécues par des mouvances armées écartées de la négociation ayant permis la libération des quatre otages français d’Arlit dans le nord du Niger, le mardi 29 octobre 2013.
Source : RFI