Comme nous l’évoquions dans nos dernières parutions, il ne fait aucun doute aujourd’hui que Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim (Mahmudu Omar), aux multiples noms et nationalités, est une menace pour la sécurité nationale. Ainsi au Mali il se dit transporteur et se fait appeler Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim ; au Tchad, il se fait appeler Mahamoudou Mohamed ; en Côte d’Ivoire, il se fait appeler Abdoulah Ali Alhoni ; au Niger il se fait appeler Mahamoudou Omar ; en Lybie il se fait appeler Khames Ibrahim Al ESani et enfin en Irak il se fait appeler Karima Hussein.
Après l’accord de paix avorté d’Alhaji Sulley Bashiru Mohamed, c’était au tour de Bashir Ahmed Agali, consul honoraire de la République du Niger à Kumasi d’inviter les chefs de la famille élargie de la victime et Omar, dont certains sont venus du Yémen et d’autres régions du monde à Accra pour la réunion. Etaient aussi présents Hassan Zein et ses avocats, les enfants d’Omar et d’autres membres de sa famille. C’est ainsi qu’au cours de cette réunion qu’Omar (qui a assisté à la réunion par téléphone) a admis la quasi-totalité des allégations portées contre lui en particulier la profanation, l’argent prélevé sur Hassan Zein ainsi que la mauvaise presse faite à son encontre. Du coup il lui a présenté des excuses inconditionnelles et sans réserve et aux membres de sa famille et a promis d’être de bonne conduite. Et Monsieur Omar d’exprimer sa profonde gratitude pour les efforts des uns et des autres en vue d’assurer la paix entre les deux parties. Aussi un protocole d’accord fut signé où Omar s’engage à payer la somme de 25 mille dollars dans les deux semaines à Hassan Zein en gage de reconnaissance de dettes qui lui étaient dues avec la promesse de payer le reste plus tard. Mais hélas deux jours après la signature de cet accord de paix, Omar et sa famille ont commencé les insultes, les attaques, les menaces et tous les autres moyens pour diffamer et intimider Hassan Zein et les membres de sa famille. Comme cela ne le suffisait pas, Omar fabriqua des histoires inexistantes à travers des allégations dangereuses et sans fondement en traitant Hassan Zein de terroriste, un magnat de la drogue, un fraudeur et un financier de partis politiques de toute l’Afrique. D’ailleurs cela a valu à Hassan Zein d’être entendu par Interpol Ghana avant d’être complètement blanchi. Mieux il fut félicité par Interpol Ghana pour être lus précis sur toutes ses conclusions et a demandé à Bamako de fournir des preuves qui ne lui seraient jamais parvenues. Du coup Interpol Ghana a rejeté les accusations d’Omar comme étant sans fondement. Comme le seul tort d’Hassan Zein, c’est le fait d’aider une jeune fille mineure souillée à jamais. Aujourd’hui il urge pour l’administration de la police, au Bureau of National Investigation(BNI), aux ministères de l’intérieur ; de la sécurité nationale ; de l’information ; de la condition féminine, de l’enfance et de la problématique hommes- femmes ; de la justice et plus particulièrement au Procureur général afin que justice soit rendue. Et cela passe nécessairement par l’arrestation de Omar qui constitue une véritable menace pour la vie de Hassans Zein, sa famille et à la jeune fille mineure souillée à jamais. Si aujourd’hui Omar continue de courir toujours, c’est en grande partie à cause de l’apparente léthargie des agences de sécurité de s’attaquer aux causes profondes de cette série de crimes (notamment les souillures, les menaces de mort, les tentatives de meurtre, entres autres) qui ont résulté dans l’état d’insécurité et enhardi Omar et sa bande de voyous de continuer à perpétrer des actes d’anarchies. Il urge pour les plus hautes autorités du Ghana et du Mali respectueux des lois de s’activer pour que cet homme aux multiples noms et nationalités soit arrêté pour la quiétude des personnes menacées tous les jours surtout quand on sait que l’homme est fortement recherché au Benin, au Togo, au Niger, au Burkina Faso, au Sénégal et en Gambie. Rappelons que Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim se fait appeler à différents suivant les pays d’accueil avec des passeports valablement établis. Ainsi au Mali il se dit transporteur et se fait appeler Mohamed Mahmoud Ould Ibrahim, au Tchad, il se fait appeler Mahamoudou Mohamed, en Cote d’Ivoire, il se fait appeler Abdoulah Ali Alhoni, au Niger il se fait appeler Mahamoudou Omar, en Lybie il se fait appeler Khames Ibrahim Al ESani et en Irak il se fait appeler Karima H.
Sadou Bocoum
La Mutation