Connaissez-vous le serpent politique ? Eh bien ! C’est un homme
politique membre de la secte des Franc-maçons. Le sigle de cette secte
maçonnique est un serpent. Le Monde, dit-on, serait aujourd’hui l’otage
des Franc-maçons. Pour se faire élire président en Afrique, il faut
appartenir à cette secte, qui fait et défait le monde.
Au Mali, après le coup de force du 22 mars 2012, la Communauté
économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), dont les
présidents seraient tous membres de la secte maçonnique, s’est mise en
marche pour un retour à l’ordre constitutionnel.
Aujourd’hui, c’est la France et ses sponsors (CEDEAO, UA) qui
demandent le maintien d’Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) comme président
du Mali, dans un pays, où les enfants ne vont plus à l’école depuis trois
ans. IBK, dit-on, n’est pas là pour le peuple malien, il serait un
gouverneur de la France au Mali. C’est un franc-maçon, membre de
Grande Loge Nationale Française (GLNF), fort à droite, à laquelle
appartiennent tous les dictateurs franco-africains, une forte proportion
des responsables des services secrets, des généraux français et
africains, les dirigeants de grands médias comme TF1, une partie du
lobby nucléaire et pétrolier. On a aussi des sectes très présentes en
Afrique et liées à la Françafrique, comme les Rose-Croix ou même le
Mandarom.
Les signes des Francs-maçons sont perceptibles à Bamako sur les
monuments: les gravures de serpents sur la Tour d’Afrique, le monument
dédié aux chasseurs «Gontoron ni sanè». La liste est loin longue d’être
exhaustive. Les Franc-maçon seraient prêts à abattre la violence sur leur
peuple pour satisfaire leur dessein (le génocide rwandais).
Source: L’ Inter de Bamako