Telle est la conviction de l’avocat doublé d’homme politique, Me Kassoum Tapo a réitéré ce point de vue hier encore dans le cadre de la conférence débat organisé par le comité exécutif de l’Adema Pasj autour du thème : ” la constitution de février 1992 , la charte de la transition, la loi électorale et le projet de la nouvelle constitution ; avantages, limites et conséquences pour la réussite de la transition, regards croisés des universitaires et des politiques
Source : Le soir de Bamako