Interrogé par un organe privé, après le drame d’Ogossagou, Me Hassan Barry a répondu : « J’ai vécu ces évènements avec beaucoup d’amertume et d’indignation. Ce drame qui rappelle étrangement celui de Koulongo survenu le 1er Janvier 2019 était du reste prévisible.
Mais le manque de vision et d’anticipation de l’Etat, en dépit des alertes et des appels de détresses, ont rendu possible ces massacres d’une amplitude dépassant tout entendement, sur le village peul d’Ogossagou. » Me Hassan Barry parle de manque de vision et d’anticipation, alors qu’un hebdomadaire privé l’avait sollicité, bien avant les drames de Koulongo et d’Ogossagou pour une interview, sur la sécurité au centre du pays, qu’il avait refusée. Par manque d’anticipation.
B.D.
Source: Canard Déchainé