Mali : Omar Mariko, président du parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance (SADI), s’est élevé contre les défauts de la nouvelle loi électorale. Il a saisi la Cour de la justice de la CEDEAO pour que ces imperfections qu’il juge dangereuses soient corrigées avant les élections.
Le président du parti Solidarité africaine pour la démocratie et l’indépendance (SADI) a dénoncé les violations constatées par sa formation politique dans la nouvelle loi électorale.
Omar Mariko souligne que les textes sont en porte à faux avec ceux de la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) qui stipulent qu’aucune modification de loi n’est possible à 6 mois d’une élection présidentielle. Or, au Mali, les modifications à la loi électorale ont été apportées à seulement 2 mois de l’échéance.
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