Comme il l’a fait pour que l’activiste Djéné Sogodogo du collectif pour la défense de la République recouvre sa liberté. IBK va-t-il encore faire parler son humanisme en acceptant les excuses du prêcheur Bandiougou Doumbia ? En tout cas, c’est l’interrogation qui est sur toutes les lèvres après l’arrestation du guide des Nourdines à la suite d’une diatribe contre le président de la République et sa famille.
En attendant, de l’avis de beaucoup de juristes, l’acceptation du pardon du prêcheur par le président de la République, chef suprême de la magistrature, peut amener la justice à ordonner la libération de Bandiougou Doumbia avant son jugement prévu pour ce début du mois de mars au tribunal de grande instance de la commune VI.
Samuel Bouabouvier
Source : Mali plume