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Le Real Madrid couronné roi des rois

Les arrêts de jeu se terminent au Santiago Bernabéu. Avant de clore le premier acte et d’envoyer tous les acteurs aux vestiaires, Clos Gomez s’avance vers Danilo et lui adresse un carton jaune pour une faute commise sur Denis Suarez.

James Rodriguez Cristiano Ronaldo joueur football real madrid

Problème : l’auteur de la faute n’est pas Danilo, mais Casemiro. Surpris dans un premier temps, les deux Brésiliens viennent papoter avec l’arbitre de la rencontre pour rétablir la vérité sur cette décision erroné. Les Merengues ne donneront pas tort à l’homme en rouge, et rentrent avec un sentiment d’incompréhension. Casemiro est bien le coupable, Danilo est bien la victime. Plus tard dans le match, Casemiro pendra d’ailleurs un carton jaune, sans se faire expulser. Dans ce bazar total, l’essentiel pour la Casa Blanca était de s’en sortir indemne. Et sur le plan comptable, le Real Madrid peut être satisfait de son match.

Asenjo, passeur décisif

Pour donner le coup d’envoi fictif, le patineur artistique Javier Fernandez envoie un coup de pied appuyé en direction du tunnel du Santiago Bernabéu. Sa deuxième couronne mondiale, obtenue au début du mois, offre au Madrilène de naissance le luxe de faire un peu ce qu’il souhaite. Poignées de mains à tout va et numéro 1 dans le dos, le fan aux yeux écarquillés semble aux anges. Son équipe favorite, un peu moins. Dans l’obligation de s’imposer pour rester dans le sillage du Barça et de l’Atletico Madrid, les Blancos se coltinent un sacré client avec ce sous-marin jaune, bien calé derrière le trio de tête. Malgré la titularisation surprise de l’expérimenté Daniele Bonera, Denis Suarez et Cédric Bakambu sont bien là pour prévenir d’un danger potentiel. Après dix minutes équilibrées, le premier pétard dans les gants de Sergio Asenjo est l’œuvre de CR7, suite au bon décalage de Marcelo. Le latéral gauche rentre dans la rencontre en bombe, capable de claquer sans pression le geste à la mode : un centre extérieur du pied.

Pas très cliente des derniers produits en vogue, la solide défense de Villarreal prime sur les sporadiques actions madrilènes. Jamais vainqueurs dans l’antre du Santiago Bernabéu au cours de leur histoire démarrée en 1923, les Amarillos se verraient bien mettre fin à cette série noire intense. Campé dans son camp dans un 4-4-2 classique, les hommes de Marcelino voient le Real garder la balle, mais manquer de tranchant, malgré les incursions menaçantes de Luka Modric. L’idée des visiteurs est de gicler en contre à la manière d’un bouchon de champagne, mais la capsule estampillée “caves de la Maison Blanche” est une dure à cuire. Côté gauche, Cristiano Ronaldo prend le meilleur sur Mario Gaspar et centre au cordeau. Asenjo pense anticiper le danger et repousse la balle au point de penalty. Un cadeau pour Karim Benzema, finisseur de la tête (40e). Définitivement lancée, la rencontre s’enflamme quand Denis Suarez oublie Cédric Bakambu et oblige Keylor Navas à la parade. Dommage que la pause arrive si vite.

Source: yahoo

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