« La vérité a beau être cachée, elle finira par passer la nuit à la belle étoile ».
Cet enseignement a été certes oublié par un homme politique à la fois hâbleur et roublard, parce qu’il a osé manipuler la horde de Sanogo pour saccager le domicile d’autorités politiques et administratives du pays, après le coup d’état du 22 mars 2012. En effet, son nom circule de plus en plus et a
fini par franchir les murs des camps militaires pour se retrouver dans la rue, comme ont circulé il y a quelques mois les photos et films vidéos des exécutions sommaires et autres sauvageries que commettait l’escadron de la mort de Kati. Peut-être aussi que, comme ces pièces à conviction, des éléments atterriront bientôt sur la table des juges pour que ce malfaiteur puisqu’en réalité il est un- puisse répondre de tout le tort qu’il est en train de causer au Mali.