Pour protéger l’environnement et certaines espèces, tout le monde reste convaincu qu’il faut mettre en place des dispositifs pouvant œuvrer dans ce sens. Ainsi, les associations en lutte pour un environnement meilleur et vivable ne baissent pas les bras. Au cours de leurs activités des dispositions se profilent à cet effet. C’est le cas des cornes de rhinocéros qui malgré le dispositif sécuritaire mis en places par les gouvernements et les ONG, sont toujours victimes de l’action des braconniers.
Des braconniers se sont organisés en réseaux en exerçant ce métier illégal. De fait, ceux qui se sont constitué pour démanteler ces réseaux ne comprennent plus rien. On se demande si les réseaux en question deviennent plus en plus forts que ceux qui s’y opposent ? Si la réponse reste affirmative, les Etas doivent toujours œuvrer pour renverser la tendance et donner ainsi la chance aux espèces de bien vivre.
La raison qui motive certains Etas à rendre finalement ce commerce légal provient des grands éleveurs de rhinocéros, qui ont d’ailleurs besoin d’un cadre légal pour pouvoir mener leurs affaires.
Le commerce des cornes de rhinocéros est légal à l’intérieur des frontières sud-africaines. Cette décision a été mise en œuvre en 2009, qui a duré pendant six ans. Une chose qui n’a pas été facile pour les chasseurs de ces espèces. Mais comme on l’a avancé plus haut, les éleveurs ne pourraient définitivement être sevrés de ce commerce qui est pour eux une source de revenu. D’autant plus qu’ils le font de manière légale et ils payent des impôts pour cela.
Le législateur a raison
Bien avant 2008, le nombre de rhinocéros perdus à cause du braconnage selon nos informations en Afrique du Sud était d’environ 25 par an, un nombre qui met toujours le législateur dans des doutes profonds, qui plutôt se demander pourquoi l’annulation de ce moratoire ? Les faits, étant têtus donnent raison à l’autorité compétente de serrer bien les ceintures pour empêcher ce phénomène qui risque d’envenimer la situation.
Car après ce temps, le chiffre a connu une augmentation, de 25 par an, ça monte à 1 000 par an depuis 2008, jusqu’aux dernières années. L’inquiétude, c’est que ce nombre représente environ la même quantité de rhinocéros qui sont nés dans la nature. Donc pas question de baisser les bras. Mais le consensus est que la grande majorité de ces cornes sont envoyées en Asie, où elles sont vendues à bon prix. Donc il est notamment dit que sur les cornes des rhinocéros peuvent être vendues au marché noir pour environ 65 000 $/kilogramme.
National Geographic