Les habitants restent toujours terrés chez eux et n’ont aucune possibilité de joindre d’autres localités du pays. Les vivres se font rares alors que la pression des terroristes se fait beaucoup plus pressante. Sans une intervention militaire, le village se meurt et les communes environnantes, qui sont également dans le collimateur des assaillants, pourraient être la cible d’une éventuelle attaque.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant