Tout d’abord, il faut rappeler que le Sahara dit occidental est marocain par son histoire, sa géographie mais aussi politiquement et qu’il ne peut être remis en question car sa Patrie le Maroc ne saurait l’ignorer, le céder ou le négocier.
Quelques pays, dont en tête l’Algérie, et bien entendu la pseudo RASD, hébergée par ses mythomanes de maîtres algériens, persistent à prétendre que non alors que la Marche Verte, il y a 45 ans, a mis fin à la présence espagnole dans les Provinces du Sud du Maroc. Depuis lors, les habitants de ces Provinces sahariennes marocaines participent pleinement à la vie politique, économique, sociale et culturelle de leur pays.
Or, les séquestrés sahraouis marocains dans la camps de la mort de Tindouf ne peuvent rentrer chez eux au Maroc du fait que les polisariens, à leur tête le criminel le plus recherché d’Espagne par mandat arrêt international à savoir Ghali Ibrahim, les retiennent en otage avec la grande bénédiction de leurs maîtres algériens.
Le Sahara ne peut être que marocain et même le Secrétaire Général de l’ONU, Monsieur Antonio Guterres a réfuté le statut de représentant auprès de l’ONU au terroriste polisarien propagandiste Sidi Mohamed Omar du fait que seuls les Etats souverains peuvent disposer d’un représentant aux Nations-Unies. Une réfutation onusienneressentie comme une menace par les miliciens séparatistes.
Ce rappel onusien du non-être polisarien est venu s’ajouter à un autre, celui du Représentant du Maroc auprès de l’ONU, Monsieur Omar Hilale, qui n’a fait que souligner, lors de la récente réunion ministérielle du Mouvement des pays Non Alignés à l’occasion du 65ème anniversaire de la Conférence de Bandung, une simple évidence : « la question du Sahara occidental n’est pas une question de décolonisation ».
Du polisario, il ne reste que les fils de marionnettes manipulés par l’Algérie et bien soutenu par la presse algérienne au service de ses maître du Palais de la Mouradia d’Alger à savoir Algérie Presse Service, El Watan, L’Expression, Liberté, Maghreb online, sans oublier la fumeuse Sahara Presse Service, porte voix de l’APS.
Au fait, cette dernière, l’APS, pour la citer, a avancé sans scrupule et en flagrante violation des bases de la déontologie et de l’éthique journalistiques que le Maroc s’était porté candidat à ce scrutin et qu’il n’a reçu « qu’une seule voix, la sienne ».
Cette fausse affirmation de l’APS démontre au grand jour, une nouvelle fois, l’incompétence et l’ignorance des rouages des Nations-Unies et du fonctionnement même de cette organisation, doublées d’une haine et d’une jalousie insatiables pour le Royaume du Maroc et ses succès diplomatiques retentissants à l’ONU.
De plus, cerise sur le gâteau, l’APS vient de recevoir une cinglante gifle de l’ONU qui a affirmésur son site d’information officiel onusien que le Maroc n’a à aucun moment été candidat aux dernières élections du Conseil des Droits de l’Homme tenues courant octobre 2020 au niveau de l’Assemblée Générale.
Il n’y a pas de doute, le polisario est bel et bien une entité zombie comme en témoigne le risible scénario des polisariens contre la pseudo l’occupation marocaine et leur propagande ne fait plus recette auprès de quelque 950.000 habitants des Provinces du Sud du Maroc.
Aussi, s’attendant déjà à un nouveau camouflet onusien, le tandem Algérie-polisario agite une nouvelle fois la menace de guerre comme affirmé, le 14 octobre 2020, par le polisarien Mohamed Salem Ould Saleck sur la radio algérienne « wab wab » dite Radio chaîne 1.
Ce polisarien, adoubé du titre de ministres des affaires étrangères de la République factice qu’est la RASD, a même dévoilé la signature d’un accord militaire avec un pays voisin, qui ne peut être évidemment que l’Algérie, apportant la preuve, pour la première fois, que la collision militaire entre les terropolisariens et l’armée algérienne est bien réelle et qu’elle soit ouvertement claironnée.
Le prochain rapport du Conseil de Sécurité de l’ONU sur le Sahara marocain sera terrible pour les polisariens, ses maîtres algériens et ses soutiens, dont l’Afrique du Sud.
Farid Mnebhi