Depuis la nomination de Me Malick Coulibaly au poste de ministre de la justice, les prouesses du Pôle Economique et Financier dans la lutte contre la corruption ne sont plus à démontrer.
Des personnalités hautement placées que l’on pensait jusque-là intouchables à cause de leur proximité avec le président de la République ont été mises aux arrêts, notamment le président de l’APCAM, Bakary Togola. En revanche ce dernier a vu sa candidature aux législatives récentes validée par la Cour Constitutionnelle. S’il avait été élu député dans le cercle de Bougouni où il s’était présenté, ses conseils auraient fait appel à l’immunité parlementaire que lui confèrerait son nouveau statut et demandé sa mise en libération auprès de l’Assemblée nationale. Toute chose que la Commission Bonne Gouvernance et Justice sociale (CBGJS) condamne avec fermeté.
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Source : l’Indépendant