Malgré les tergiversations pour l’aide à la presse, nous savons le pouvoir très large envers certains patrons de presse. Mais nous doutons fort bien que les raisons soient professionnelles.
Elles seraient plutôt subjectives. Comme le cas de ce journal endetté à hauteur de 17 millions de nos francs au niveau d’une banque de la place et qui a reçu la protection de Koulouba pour échapper aux actions de recouvrement de la banque prêteuse. En effet, ne parvenant à relancer son journal après avoir investi dans l’achat de matériel d’impression, « la patronne» de cet organe faisait face ainsi à un contentieux et la banque menaçait de sévir. Mais la bonne dame s’est empressée d’’aller à Koulouba qui s’est engagé à payer la dette. Et si on en faisait autant pour la presse, du coup elle serait alors la plus performante du continent.
Source: journallesphynxmali