Le régime d’IBK a du mal à se sortir du bourbier de l’achat d’un nouvel avion présidentiel. Ses tentatives d’explication et de justification ne font que renforcer les suspicions sur ce dossier qui menace nos rapports avec les partenaires techniques et financiers.
On annonce que
les institutions de Bretton Woods s’en mêlent à travers la Banque mondiale dont la délégation, qui arrive le 15 mai prochain, veut demander des comptes au gouvernement qui doit déjà avoir des difficultés à faire accepter la poursuite des subventions accordées à l’EDM-SA.
Pour éviter un désaveu cinglant sur l’avion, le pouvoir craint la publication du certificat de navigabilité de l’avion dit d’ATT que détiendraient certaines personnalités parmi lesquelles un colonel de l’armée de l’air. Sur ces personnes, on est en train d’exercer de sacrées pressions comme sur des journalistes.
Aux abois, Koulouba est prêt à tout.
DAK