Le Boulevard de l’indépendance a accueilli ce matin à 7h00 le lancement de la journée nationale de la pratique sportive au Mali. Cette journée va rentrer dans les mœurs le dernier samedi de tous les mois à Bamako.
Au cours de la séance d’aujourd’hui cadres du ministère des sports, lycéens sportifs de Kabala, supporters de l’équipe nationale de football et amateurs ont pu renouer avec les principes de l’échauffement, la marche sur quelques centaines de mètres puis la course.
En compagnie du ministre des sports Housseïni Amion Guindo, le premier ministre a estimé qu’il s’agit là d’une activité recommandée pour la bonne santé à pratiquer plus régulièrement. En donnant l’exemple M. Mara et M. Guindo ont voulu indiquer la voie à suivre pour que les maliens en général se réconcilient avec le sport physique.
La pratique régulière d’une activité physique, rapporte le Figaro, a de très nombreux bienfaits, parfois insoupçonnées. Elle permet d’avoir une bonne condition physique ce qui, au-delà de l’amélioration de vos performances sportives, facilitera votre vie quotidienne. Elle protège contre la survenue des maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde et angine de poitrine), quel que soit l’âge. Elle protège contre certains cancers en particulier celui du sein chez la femme, de la prostate chez l’homme, et du côlon. Elle réduit le risque de diabète et aide à mieux équilibrer le taux de sucre dans le sang (glycémie). Elle facilite la stabilité de la pression artérielle. Elle est efficace pour le maintien du poids de forme et peut réduire les risques d’obésité. Elle réduit le risque de lombalgies. Elle améliore le sommeil. Elle lutte efficacement contre le stress, la dépression, l’anxiété. Elle améliore le processus de vieillissement et protège contre la perte d’autonomie.
Après le Boulevard de l’Indépendance, le Premier ministre a pris part aux activités commémoratives du 25è anniversaire de la convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) au CICB avec comme thème national « Pour une réponse concertée en faveur des enfants touchés par le conflit armé».
Source : CCINT Primature 29 11 2014
Source: Primature