Malgré des progrès notables, beaucoup restent à faire. Le Mali doit encore s’efforcer à améliorer « sa gouvernance pour une gestion plus rationnelle et plus efficiente de l’action sanitaire », combler le très grand déficit de ressources humaines pour la santé et accélérer la réduction du payement direct pour les soins de santé, entre autres.
Un leadership efficace et un engagement politique de haut niveau constants sont essentiels pour y arriver. L’unique attente des partenaires du Mali comme l’OMS est que le Gouvernement aille dans ce sens et que les efforts se poursuivent pour véritablement instaurer une couverture santé universelle.
DACK
Icimali