A l’heure où le continent africain se bat pour devenir libre après des années « d’esclavage » et de « pillages » de ses ressources, car la question essentielle qui reste sans réponse est « Pourquoi le continent le plus riche de la planète est-il toujours le plus pauvre ? », Le Foccard à la petite semelle a, via des manœuvres, remis en place le Club Zimbabwe afin de faire main basse sur le Gabon.
Prenant en otage une population, une élection, un pays et sans nul doute l’un des seuls présidents d’Afrique ayant tenté de donner une nouvelle image de son pays, et du continent.
L’Ironie est qu’à l’heure où le monde entier tente de mettre fin à Daesch (le groupe terroriste qui sévit en Syrie et ayant des tentacules en Libye, au Nigeria, au Mali…), la FrancAfrique que nous pensions morte renait de ses cendres, Bourgi ne valant mieux que Daesch, d’ailleurs si Daesch recrute il est fin prêt.
Le seul et unique opposant d’Ali Bongo est Bourgi qui, depuis le début, orchestre, paye, finance, communique et prépare depuis 1 an sa campagne afin de devenir Président du Gabon.
Un plan simple, rodé, gagnant car utilisé des centaines et des centaines de fois par la FrancAfrique dont il a été le porte-serviette du maître Foccard. Il lui suffisait de remettre en activité le Club Zimbabwe, club opaque, opérant en toute impunité durant des années où l’on retrouve les Péan, Bourgi et autres.
Ne pouvant se présenter à découvert, puisque la Constitution gabonaise ne le lui permet pas, il a convaincu un de ses hommes de main, ouvrier comme lui de la FrancAfrique, de se présenter.
1.Occuper les Gabonais en avançant des « Kongosa » récurrents, relayer ses Kongosa via ses amis d’une certaine presse compromise et à sa solde, car l’argent mène le monde et il le sait. Avec l’appui de son ami Péan à la manœuvre et relayé localement par l’hebdomadaire Echos du Nord et presses affinitaires.
2.Tuer le Président
3.Eliminer un à un les hommes, les équipes du président, en les traitant de menteurs, voleurs …. S’attaquant à leur famille, femmes, enfants.
4.Avilir l’image du pays, de sa population en relayant que le pays est en « Guerre civile et que les Gabonais ne sont que des cafards ». Que l’on peut faire disparaître à loisir.
5.Semer la panique, tout en espérant que les industriels du monde entier allaient tourner le dos et quitter le pays. Mettant ainsi le pays à terre financièrement.
6.Parler au nom de la France en disant « je vais vous donner la position de la France », évoquant le président Hollande, se servant du Premier ministre Valls n’est que pure fumisterie. D’autant plus que, même si la France d’aujourd’hui abrite encore des vestiges de la FranceAfrique, pour ce qui est du président Hollande, il n’a jamais été question d’investir Bourgi pour en assumer la résurgence.
7.Manipuler la Commission européenne et la communauté internationale en faisant « aboyer » sa marionnette Jean Ping sur les plateaux de Télévisions annonçant un pays en chaos qu’il faut venir sauver.
8.Durant tous ces mois de kongosa destinés à nous distraire et nous éloigner de nos vraies préoccupations, lui laisser ainsi le champ libre de mettre en place la suite de son scénario catastrophique.
9.La suite est connue, car déjà utilisée en Côte-d’ivoire et au Congo. On prend les mêmes et on recommence …
10.Fabrique d’une fausse opposition de guignols qui iront à la candidature unique de Jean Ping, soigneusement orchestrée par Maître Tricot à Paris (France).
11.Mandater Maitre Emmanuel Altit pour fabriquer de fausses preuves qui serviront à la plainte qui est déjà préparée et qui va être déposée dès la fin du vote pour prouver une tricherie savamment orchestrée. Dans la suite, Jean Ping, la marionnette, se ferait envoyer en Belgique chez Mr Ango. Objectif : payer l’ensemble des prestations et factures de Maitre Altit pour fabrication des fausses preuves entre autres.
12.Manipuler certains Gabonais à donner de faux témoignages contre des espèces sonnantes et trébuchantes.
13.Payer des « mercenaires » afin de venir créer des incidents durant le vote pour montrer au monde un Gabon en chaos, avec l’aide de Stéphane Ravion.
Nous ne sommes pas « Dieu » et pourtant nous pouvons vous dire mot à mot ce qui se passera demain, dimanche et dans les jours qui vont suivre. Nous aurons des incidents orchestrés et vendus au monde entier pendant et après le vote, nous aurons une tentative des opposants d’annoncer le résultat avant que celui-ci ne soit officiellement connu, nous aurons la plainte pour tricherie…
Mais l’expert Bourgi et son club Zimbabwe dont les membres Péan, Altit, Tricot, Jean Ping, Ravion ont oublié quelques fondamentaux : le Gabon et les Gabonais ont grandi. « Nous ne sommes plus les primitifs nègres et ils ne sont plus les colons blancs, si nous sommes pour une opposition comme dans tous les autres pays du monde, nous la voulons loyale, franche et surtout nationaliste ».
« Demain, Monsieur Bourgi, nous ne voterons pas pour vous avec ton vassal et esclave Jean Ping. Le peuple gabonais ne sera pas celui qui veut rester dans l’histoire pour celui qui aura laissé renaître la FranceAfrique et le club Zimbabwe. Nous ferons bloc, nous survivrons à votre machination. Nous sommes prêts à vous poursuivre jusqu’au bout pour vous faire payer le mal que vous avez fait et que vous continuez à faire au Gabon et à l’Afrique toute entière ».